Avez-vous remarqué que les agents d’Assurances sont tout mielleux pour vous avoir comme client mais lorsque vous faites une réclamation, ils vous traitent comme des voleurs ?
Sujet à réflexion.
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Travail bâclé
18°c – Ciel couvert, pluie en après-midi.
J’ai une haie de cèdre dans ma cour arrière. Elle est très haute et bien que je l’aie quelques fois fait couper, elle est encore trop haute.
L’année passée, j’ai demandé à un « spécialiste » de la couper à une certaine hauteur. En même temps, j’ai demandé à cette personne de tailler celles du côté arrière et en façade de la maison.
L’ensemble a été bien fait sauf celle en arrière. La personne devait aller chez le voisin pour finir la coupe mais, il ne l’a pas fait. Il m’avait dit comme quoi sa femme l’a appelé pour une urgence et il doit quitter tout de suite. Je ne lui ai pas donné la totalité du montant convenu mais il m’a assuré qu’il va revenir pour finir le tout. J’avais un doute mais j’ai fait confiance…
Malheureusement, il n’était plus revenu même après plusieurs rappels de ma part.
Moi, je vais survivre mais lui ? Je me demande, avec une telle mentalité, comment il pense faire évoluer son entreprise ? Parce que c’est une entreprise même si c’est à mini-échelle.
Ayant discuté avec mon entourage, il se trouve que cette situation est quasi monnaie courante et on s’entend que ce genre de comportement est une nuisance à la profession. Au Québec, on appelle ces personnes des « cabochons ». Littéralement, un idiot, un sot et je rajoute, qui ne voit pas plus loin que le bout de son nez. Parce que l’ayant vu aller au début, j’avais dans la tête de le recommander à une amie mais pour finir, il s’est avéré non recommandable. Persona non grata.
J’ai vu sur Internet qu’il offre encore ses services et je n’ai pas hésité à lui mettre un commentaire acerbe. Oui, je suis incisive lorsqu’on trompe ma confiance. Je n’aime pas trop en arriver à ce point. J’espère du moins que mon commentaire lui a permis de se mettre sur la bonne voie.
On voit ici qu’il suffit d’un rien pour que la réputation soit tâchée et qu’une perte de la clientèle s’en suive. À votre avis, qu’est-ce qu’il aurait pu faire pour éviter ou pour corriger cette situation ?
N’hésitez pas à commenter.
Le service à la clientèle
16°c ; généralement ensoleillé.
La semaine passée, par un jour de pluie, je suis allée faire mes commissions comme à mon habitude. Après mes commissions, j’ai vu un salon de coiffure et ça m’a fait un tilt. Mes cheveux !
Je vous explique. Je me suis déclarée coiffeuse en herbe depuis quelques temps. Ne me demandez pas pourquoi mais voilà : j’ai coupé mes cheveux moi-même. Au début, ça allait très bien. J’en étais très fière et mon entourage n’a rien remarqué. J’ai même reçu quelques compliments. Toutefois, la dernière fois que je les ai coupés, ça n’a pas marché comme je l’entendais. Force m’est de constater que ne s’improvise pas coiffeuse qui veut. Il ne me restait plus qu’à les attacher tous les jours. J’en ris encore, croyez-moi.
Alors lorsque j’ai vu le salon de coiffure, je me disais : c’est le moment ou jamais! Notez que depuis que j’ai quitté Montréal voilà plus de 10 ans, je n’ai pas réussi à trouver « la » coiffeuse qui me convient. C’est une question de « Service à la clientèle ». Plusieurs anecdotes sont à raconter à ce sujet puisque le service à la clientèle est l’objectif ultime de ce site.
Le salon était vide. La coiffeuse est assise dans un des fauteuils, face au miroir. Elle était penchée sur son cellulaire (téléphone portable pour les non canadiens). Elle avait l’air bien occupée.
Bonjour ! Elle a levé la tête et toute souriante, a répondu à mon appel. Toutefois, elle n’a pas bougé de son siège. Appuyée au comptoir, j’ai crié : Combien coûte une coupe ? X dollars qu’elle me répond. Elle s’est levée et s’est dirigée vers moi ou plutôt vers le comptoir. On a discuté un peu de ce que je voulais et elle m’a invité à la suivre vers le « lavabo ». Je ne suis pas certaine que ce soit bien le terme à utiliser mais, c’est la chaise où on se fait laver les cheveux.
Comme à l’habitude dans ces circonstances, on parle de tout et de rien pendant qu’elle lave mes cheveux. Il était alors temps de passer à la coupe. Toujours respectueuse, elle me demande de me placer sur un des fauteuils. Et toujours, le papotage continue. On a parlé de randonnée pédestre. Elle aime l’ouest canadien. Elle l’avait fait avec son père et sa soeur. Un très beau souvenir, qu’elle disait. Moi aussi, l’ouest canadien est dans ma « to-do-list ». Pour cela, il me faut au minimum un mois de vacances puisque je rêve de le combiner avec un road trip de la rive nord de Montréal à Colombie Britannique. Le rêve!
La coiffeuse a fait la coupe que j’ai demandée. J’en suis satisfaite. Toutefois, il y a quelques lacunes quant au déroulement du service. Dans ses actions, la coiffeuse a fait deux erreurs. Je vous demande de les trouver et les écrire en commentaire.
Qu’y a-t-il à faire aujourd’hui ?
- Lecture;
- Écriture;
- Course à pied (15R1);
- Continuer les joints pour mon mur;
- Placer la table de jardin (l’été est à nos portes!);
- Appeler (ami, famille);
- Réviser les choses à faire pour la semaine qui vient.
Old and laugh 
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